Recherche personnalisée

mercredi 25 juin 2008

COUP DE POUCE A PAULINE PASINI



Pauline PASINI recherche un contrat en alternance pour une durée de 3 ans au sein d'une entreprise à dimension internationale. Elle avait trouvé ce contrat, ily a 4 mois et après 3 entretiens concluants. Quelques jours avant de commencer le dit contrat, l'employeur l'avertit qu'il n'était plus interessé!!!Donc, Chers visiteurs, chers confrères, si cette offre vous interesse, n'hésitez pas à la contacter directement ou par mon intermédiaire.CI-joint son cv en PJ et ci-dessous sa lettre de motivation. Merci à vous tous.
Vous pouvez voir son cv ainsi que la lettre de motivation sur le site www.cuisset-hlg.com au niveau des actualités.

mardi 24 juin 2008

Stress au travail: nous devons et nous allons lever un tabou.

Bonjour,
Voici la retranscription du discours du ministre du travail lors de la remise du rapport sur la détermination, la mesure et le suivi des risques psycho sociaux au travail que m'a transmis Nicolas BERBEYER du groupe COPLAN.

"Nous devons et nous allons lever un tabou en parlantde stress au travail.Le travail est source d’épanouissement, d’émancipationde promotion sociale mais aussi il peut être source dedifficultés, il peut être générateur de souffrance,nous devons tout avoir à l’esprit.On a longtemps connu la seule pénibilité physique, maisaujourd’hui de nombreux salariés ressentent unepénibilité psychique.Le stress a pendant longtemps été une question desociété, il est aujourd’hui une question de santé, desanté publique et de santé au travail.Je visite de nombreuses entreprises, les gens parlentdu stress entre eux, et notre rôle est de faire un étatdes lieux, et de proposer des solutions à celles etceux qui souffrent du stress au travail.Nous devons donc et nous voulons donc mesurer lestress, informer et agir, notamment au niveau desentreprises. Nous devons bien prendre conscience quenous sommes partis d’une page totalement blanche, quece rapport est une 1ère en France. C’est une 1ère étapequi marque a la fois une prise de conscience et unedynamique d’action.On ressent aussi en France, peut être plus qu’ailleurs,une dureté et une pénibilité au travail. Je voudraislivrer une explication, c’est que nous avons un travaildavantage concentré sur les 30-45 ans, nous avons untaux d’emploi des séniors parmi les plus faiblesd’Europe. Nous avons un taux d’activité des jeunesparmi les plus faibles d’Europe, si bien que nous avonsun travail qui est concentré sur les 30-55 ans.On ne guérit bien que ce que l’on connaît bien.L’objectif est donc de prendre toute la mesure dustress, d’y apporter les solutions, et de mettreclairement d’ici 2 à 3 ans, la France au niveau despays qui apportent les meilleures solutions contre lestress au travail. Les pays scandinaves et le Canadasont pionniers en la matière.A la suite de ce rapport, l’approche que nous allonsprivilégier sera à la fois collective et individuelle.Je souhaite que nous laissions les grands débatsderrière nous.[...]Nous avons bien sûr en tête des initiatives qui ont étémises en oeuvre dans plusieurs entreprises : tout cequi a pu être mis en place dans les entreprises auniveau de la prévention est une chose, mais nous devonsforcément avoir une action globale.Car j’ai aussi le sentiment que les conditions detravail sont d’ores et déjà un élément essentiel pourl’attractivité des entreprises et qu’elles le serontdavantage dans les années qui viennent, notamment dansune situation de plein emploi dans laquelle lessalariés auront davantage le choix entre lesentreprises Le stress au travail c’est aussi un coûtsocial et humain. Le turn over, l’absentéisme et labaisse de la productivité sont une chose, mais lemal-être en est une autre. Mais le stress disons leclairement c’est aussi un coût économique.Selon le BIT, le coût du stress dans les paysindustrialisés s’élève entre 3 et 4% du PIB dans lespays industrialisés. Pour la France, celareprésenterait environ 60 milliards d’euros. Pourl’entreprise, ce sont des pertes en termes deproductivité (absentéisme, arrêts de travail) et deperte de qualité. Pour la société ce sont la prise encharge des arrêts de travail, des maladies et desmédicaments. Une étude de la CNAM réalisée en 2004 amontré qu’1/4 des arrêts de travail de 2 à 4 mois ontpour motif des « troubles mentaux et du comportement »en particulier chez les cadres et les professionsintellectuelles.[...]Je voudrais vous dire ce qui à mon avis est essentielde retenir de ce rapport.La première partie tente de mieux délimiter et définirles RPS : le stress est le premier des risquespsychosociaux.La deuxième partie dresse la liste des indicateursexistants et propose de construire des indicateurssectoriels.La troisième partie avance des pistes de préconisationpour l’action publique.Vous faites huit propositions : - La construction d’un indicateur global du stress caraucun indicateur global et national n’existe à l’heureactuelle. Cet indicateur prendrait la forme d’uneenquête auto-administrée de périodicité annuelle.L’enquête en Grande-Bretagne n’est que bi-annuelle,l’annualité selon moi est quelque chosed’indispensable. - Utiliser comme indicateurs les outils qui existentdéjà - Lancer des expérimentations pilotes dans la fonctionpublique, ce qui montre bien que le travail sur cedossier est interministériel, il concerne Eric Woerthet André Santini ainsi que les différents ministères autitre de leur administration. Et bien évidemmentRoselyne Bachelot sur tous les sujets liés à la santéau travail. Nous avons à coeur de travailler ensemblesur ce sujet. Lorsque j’étais ministre de la santé, jetravaillais avec Gérard Larcher, j’ai l’intention defaire la même chose avec Roselyne Bachelot. - La quatrième proposition vise à analyser le rôle desincitations dans le fonctionnement de la branche AT/MP.Je n’oublie pas la question de la transposition desaccords pour laquelle il y a une mission de laDirection de la sécurité sociale en ce moment. - Le cinquième point est l’« Autopsie psychologique »des suicides : recenser les suicides de salariés autravail et procéder à leur analyse psychosociale. - Vous proposez en sixième point de lancer une campagnepublique d’information et en septième point de mieuxformer les acteurs au sein de l’entreprise et renforcerleur rôle. Enfin, vous proposez de créer un portailInternet à diffusion des entreprises et des salariéspour diffuser des guides méthodologiques et des bonnespratiques sur le modèle du site de l’agence de santébritannique.Je voulais vous dire que j’ai bien l’intention dereprendre l’ensemble de ces propositions et desoumettre toutes ces propositions au mois d’avril à lanouvelle conférence sur les conditions de travail.[..]Pour cela il nous fallait ce rapport, un plan d’actionqui sera présenté à la prochaine conférence sociale surles conditions de travail. J’ai souhaité présenté cerapport dès sa sortie mais nous allons proposer dèsmaintenant un groupe de suivi sur la politique destress au travail. [..]
Je crois sincèrement que la France peut se fixer commeobjectif d’être au niveau des meilleurs pays en matièrede lutte contre le stress d’ici deux trois ans"

samedi 21 juin 2008

Message de Bruno Peloso di Tedeschi - Président de l'Association des Membres de Comité de Direction recherche

Bonjour, Nous avons récemment crée l'AMCD qui regroupent les membres de Comité de Direction, nous comptons actuellement 50 adhérents et en prévoyons 150 d'ici la fin de l'année. Nous recherchons des étudiants en école de journalisme ou en communication pour réaliser un certain nombre d'interviews de dirigeants. Si vous souhaitez participer à cette aventure n'hésitez pas à me contacter au 06 21 22 58 66. Bien à vous, Bruno Peloso di Tedeschi

SEQUOVIA RECHERCHE UN STAGIAIRE

Sequovia est un portail BtoB qui s'adresse aux entreprises et collectivités désireuses d'initialiser ou approfondir une démarche de développement durable. Dans le cadre du développement de notre nouvelle activité, nous recherchons un(e) stagiaire issu(e) d'une formation spécialisée dans le développement durable. Le stage démarrera à compter du mois de septembre, pour une durée à définir ensemble. Vous aurez pour mission principale la production et rédaction de contenu destiné à notre portail internet: réglementation, formations, actualité, dossiers thématiques. Pour plus d'infos, vous pouvez nous contacter par mail à l'adresse contact@sequovia.com

OFFRE D'EMPLOI

Voici une offre d'emploi que m'a fait transmettre Ahlem Chattibi - expert comptable - Commissariat aux comptes (CAPEDES Agency) à Alger.
Une agence de communication recherche formateurs algériens ou étrangers pour le nouveau système comptable selon les normes IAS et IFRS...
Merci de contacter Ahlem Chattibi : 0770522574 ou par mail : top_737@hotmail.com

mercredi 18 juin 2008

Recours au marketing pour tenter de mettre son cabinet en valeur


Marketing à l’américaine : Ce n’est pas manquer de professionnalisme que d’avoir recours au marketing pour tenter de mettre son cabinet en valeur Imaginez un colloque de comptabilité dont moins de 20 % des participants sont des comptables, ou 450 personnes férues de comptabilité, chacune complètement absorbée par la croissance de son entreprise, le service à ses clients et l’embauche de ses employés. Qui d’autre que des comptables peuvent démontrer autant d’enthousiasme pour une profession aussi terre à terre? Eh bien, les membres de l’Association for Accounting Marketing (AAM), une organisation de Kansas City dont la mission est d’agir comme catalyseur de la réussite des initiatives des cabinets membres en matière de marketing et de vente, répondent à ce critère. Pour remplir sa mission, l’AAM mise sur la formation et le développement des compétences professionnelles afin de permettre à ses membres de créer de la valeur au sein de leur cabinet et de les guider dans le milieu compétitif et en mutation rapide dans lequel ils évoluent. La plupart des membres de l’AAM sont des professionnels du marketing qui travaillent exclusivement pour les cabinets comptables, principalement aux États-Unis,mais de plus en plus au Canada et à l’étranger. Leurs cartes d’affaires sont identiques à celles des comptables du cabinet pour lequel ils travaillent, mais ils portent des titres tels que coordonnateur de la commercialisation, responsable des relations publiques, directeur commercial, responsable du développement commercial, directeur de l’élargissement de la clientèle et directeur du soutien à la clientèle. Bien que la plupart soient employés par des cabinets,certains sont actionnaires et ont le même statut que leurs homologues CPA ou CA. Quelle que soit leur position dans la hiérarchie, leur passion pour la profession ne se dément pas. Les cabinets qui emploient des membres de l’AAM peuvent être de petite taille ou d’une envergure internationale. Peu importe leur travail, ils ont un point commun, c.-à-d. la conviction d’œuvrer dans un secteur d’activité qui doit se disputer la faveur du consommateur. Le marketing est une partie intégrante de leur stratégie commerciale, et ils sont innovateurs,créatifs et nettement en avance sur la concurrence. Le marché américain de la comptabilité est en plein essor. Avec à l’arrière-plan les scandales financiers d’Enron et de WorldCom, et la Loi Sarbanes-Oxley qui garantit du travail pour tous, la profession de CPA affiche un taux de croissance élevé. Les prêteurs et les investisseurs reconnaissent désormais la valeur d’une attestation indépendante. Le Public Company Accounting Oversight Board veillant par ailleurs à la mise en application de cette indépendance, les petits et moyens cabinets de CPA tirent profit de la situation en héritant de services externalisés réservés auparavant aux cabinets de vérification. Ainsi,s’inscrivant dans la longue tradition du milieu des affaires américain, les cabinets de CPA recherchent activement une stratégie d’expansion et de pénétration du marché. Comme un CPA l’a dit lors du colloque, «quand les choses vont bien, il faut foncer». Le colloque de l’AAM, Marketing Magic, avait lieu en juin et avait pour toile de fond le Walt Disney World Resort. On ne pouvait trouver meilleur endroit, Mickey Mouse étant le champion incontesté de la fidélisation de la clientèle,objectif qui éclipse tous les autres en marketing. Un atelier fascinant, intitulé «Loyalty Disney Style»,était animé par une cadre supérieure de Disney. «Ce programme, a-t-elle expliqué, repose sur le principe que la fidélité est fonction du rapport entre l’identité, les valeurs et les relations. Nous constatons que plus ce rapport est étroit, plus le client est fidèle. Par ailleurs, les employés sont aussi des consommateurs.» La société Disney est fière d’afficher un taux de fidélité de la clientèle de plus de 90 % et, des employés, de l’ordre de 70 à 80 % (dans un secteur connu pour son taux d’attrition égal ou supérieur à 100%). Disney a été capable d’étendre à toute l’organisation sa formule de fidélisation basée sur l’identité, les valeurs et les relations. Les employés ont pleins pouvoirs pour faire en sorte que l’expérience client soit la plus extraordinaire possible. Une vidéo montrant les hauts faits d’employés en termes de service à la clientèle a ému l’auditoire :on y voyait un employé réaliser le rêve d’une jeune paraplégique en dansant avec elle. Celle-ci était de>plus costumée en Belle, de la production de Disney La Belle et la Bête. Or, un cabinet de CA peut-il créer ce genre d’expérience client? Ronald J. Baker, conférencier et auteur de Professionals Guide to Value Pricing, applique la théorie de l’expérience client au secteur de la comptabilité. La proposition de valeur habituelle qualité-prix-service n’est plus suffisante. La qualité va de soi, elle fait partie des règles du jeu dans notre secteur d’activité. Quant au prix, s’en servir pour se disputer la faveur du consommateur n’est pas une partie de plaisir et va de plus à l’encontre du principe de fidélisation. Et si le service a ses avantages concurrentiels, il n’est plus un facteur aussi pertinent qu’il l’a été. Au-delà de l’aspect «service», il y a l’expérience du client. Les vrais bons cabinets comptables font en sorte que celle-ci soit mémorable. À chaque interaction avec le client, un bon cabinet crée une expé¬rience qui correspond exactement à la définition que ce client se fait de la valeur et renforce sa décision de faire appel à ses services. Ronald Baker donne l’exemple de Starbucks. En créant une expérience client exceptionnelle, Starbucks a réussi à convaincre une bonne partie du marché de payer, pour un café, de trois à quatre fois le prix demandé par ses concurrents. Ronald Baker, cofondateur avec Dan Morris du groupe de réflexion en comptabilité Verasage Institute de Petaluma (CA), est un adepte convaincu de concepts aussi révolutionnaires que la «mise au rebut des feuilles de temps» et l’«abandon des heures facturables». Avec une proposition en matière de valeurs axée sur l’expérientiel, voire le transformationnel, la méthode d’établissement du prix n’est plus fondée sur l’opération coût + profit facturée selon un tarif horaire. Elle est plutôt fondée sur le client : aidez le client à se rappeler de sa meilleure expérience avec votre cabinet et demandez-lui quelle est la valeur de cette expérience. Demandez-lui aussi quel prix il est prêt à payer et aidez-le à se représenter l’expérience qui correspond à ce prix. Les prix établis d’avance, les garanties de remboursement et les ordres de modification (pour les services hors du cadre de l’expérience convenue) feront avancer la profession au-delà des détestables heures facturables, vers une relation client fidèle et profitable. Dan Morris préconise le modèle du «service de concierge» qu’il compare avec le transport aérien et ses différents segments : tarif réduit, classeé conomique, classe affaire et première classe. «Les gens qui voyagent en première classe ne sont pas traités de la même façon que ceux qui voyagent en classe économique. Ils ne paient pas non plus le même prix. Mais tant que tous les passagers reçoivent le service pour lequel ils estiment avoir payé, tout le monde est satisfait», dit-il. Associé à un environnement sans feuille de temps, le modèle service de concierge permet à Dan Morris de fournir à tous ses clients l’expérience qu’ils ont imaginée. À titre de concierge, il se met en tout temps à la disposition de ses clients de première classe. Au cours de sa présentation, Dan Morris affirme que, si un de ces clients l’appelait, il laisserait toutes ses activités sur-le-champ pour respecter ses engagements. Il se qualifie de «généraliste qui fait tout ce qu’il faut pour répondre aux besoins de ses clients». Dénicher des billets pour le Super Bowl, organiser une rencontre avec un membre du Congrès américain ou une intervention médicale délicate sont autant d’exemples qui montrent jusqu’où il est prêt à aller dans son rôle de concierge. Même s’il admet que ce modèle ne convient peut-être pas à tous, il parle de la fidélité de ses clients et de la loyauté de ses employés comme preuve qu’il est sur la bonne voie. Voici certains «irritants» mentionnés qui méritent d’être soulignés : • Facturer les appels téléphoniques et les conversations occasionnelles. (Incluez-les dans les honoraires.) • Répondre avec la réserve «cela dépend». (Dites plutôt au client ce que vous feriez à sa place.) • Dire au client à quel point vous êtes occupé. (Il l’est autant que vous.) • Essayer de contenter tout le monde. (Lorsque vous n’avez pas la réponse à une question, admettez-le et trouvez quelqu’un qui la connaît.) • Relâcher votre attention. (Traitez toujours votre interlocuteur comme s’il était un nouveau client.) Voici également quelques conseils pour maintenir une bonne relation avec les clients de qualité : • Montrer qu’on s’intéresse à la vision et aux affaires du client. • Être réceptif à ses appels et à ses demandes d’information. • Préparer le client pour l’avenir. À quoi doit-il s’attendre en ce qui concerne la croissance de son entreprise? • S’assurer qu’il connaît plus d’une personne dans le cabinet, mais demeurer sa principale personne-ressource. • Organiser une rencontre avec ses autres conseillers afin qu’il constate que tous sont sur la même longueur d’onde. • Lui rappeler les autres services fournis, mais éviter de l’inonder de documents non pertinents. • Fournir gratuitement certains services. Un peu de générosité ne nuit jamais. Dans un autre atelier, «Inside the Minds of "A" Clients», des chefs de direction d’organisations de diverses tailles ont donné leur opinion sur ce qu’ils aiment ou n’aiment pas dans le fonctionnement de leurs cabinets comptables. De nombreux «irritants» peuvent sembler familiers, mais d’autres méritent l’attention. Les participants ont aussi présenté des trucs pour maintenir une excellente relation avec les clients de qualité (voir l’encadré intitulé «Voici certains des "irritants" mentionnés qui méritent d'être soulignés»). La profession comptable a évolué aux États-Unis pour devenir intéressante, dynamique et compétitive, et permettre de faire profiter les clients d’une expé¬rience améliorant leur vie et répondant à leurs attentes. Le marketing joue un rôle dans presque tous les processus d’un grand cabinet d’expertise comptable. Ce n’est pas manquer de professionnalisme que de mettre en valeur votre cabinet. Cependant, la majorité de vos ressources de marketing devraient être consacrées à vos clients actuels. Si vous leur en donnez l’occasion, ils raconteront leur expérience à d’autres. Au Canada, la profession comptable est en voie de reconnaître cette réalité. À mesure que le contexte deviendra de plus en plus concurrentiel, les cabinets canadiens embrasseront les théories du marketing américain. Nous le ferons en fin de compte mieux que nos voisins du Sud, car nous croyons que nos clients méritent la meilleure expérience qui soit. Cela a toujours été la marque de la profession comptable canadienne. Il ne nous reste qu’à continuer à nous améliorer.

lundi 16 juin 2008

COM' DES GRANDS

Ecoutez-moi : allez-voir ce site de cette société spécialisée dans la communication.
J'ai reçu dernièrement un mail de celle-ci au sein d'un hub (groupe) dont je fais membre, voici la teneur de cet envoi :
Bien le bonjour! Je crois que le titre de l'annonce parle de lui même: nous sommes une agence conseil en communication on-line et off-line, mais nous ne sommes pas comme les autres! Arriverons-nous à vous en convaincre? Rassurez vous, je ne vais pas vous dire que nous sommes les meilleurs, ni que nous pouvons répondre à toutes vos demandes à des prix défiant toute concurrence... Ce genre de discours nous les laissons aux autres! Je vous invite simplement à venir nous découvrir sur notre site http://www.comdesgrands.com ou sur notre HUB http://www.viadeo.com/hub/affichehub/?hubId=00238sjl8uu4z9y N'hésitez pas à nous solliciter dans le cadre d'un appel d'offre ou formulez simplement vos demandes sur notre site internet, nous nous ferons un plaisir d'y répondre. Nous sommes basés à Paris, mais notre portefeuille client s'étend sur la France entière, le télétravail n'est pas un problème. A très bientôt peut-être ! Clément Bisch Directeur associé
Donc, ma curiosité s'accentuant au fur et à mesure de la lecture de ce mail, je suis allé faire mon petit tour et j'ai trouvé ce site génial, plein d'humour, de poésie et de création et la musique !!!. Je vous incite vraiment d'aller faire une petite promenade qui j'en suis sûr vous enchantera. Et en passant, dîtes moi ce que vous en pensez .

Diner-débat avec Julia Kristeva

Nous vous signalons que le club de réflexion GEOFINANCE ET STRATEGIES vous propose un dîner débat autour de la place de la femme dans notre société, à l'heure de l'annulation d'un mariage pour mensonge sur la virginité de l'épousée। Notre invitée, JULIA KRISTEVA, est écrivain et psychanalyste। Elle a reçu en 2004 le Prix Holberg (équivalent du Nobel pour les sciences humaines), pour ses travaux novateurs। Julia Kristeva vient de publier un ouvrage sur Thérèse d'Avila, qui retrace les interrogations de l'auteur sur le mysticisme de la sainte. A l'heure où les intégrismes peuvent prendre le pas sur la réflexion, où la place de la femme dans ce combat n'est pas neutre, nous vous invitons à prendre part au débat (foulard, piscines, hôpitaux, travail le dimanche : les communautés religieuses se mobilisent).Date : JEUDI 19 JUIN 2008, à 20 h 00Lieu : un restaurant parisien, dans le VIIè arrondissement, précisé aux personnes s’inscrivantPrix : 38 euros environ par personne, règlement sur place (chèque SVP ou espèces)Pour s'inscrire :
clubgeos@yahoo.fr

dimanche 15 juin 2008

La collection des normes ISO relatives aux méthodes statistiques maintenant disponible sur CD-ROM

Conception de produit, maîtrise et amélioration des processus, management de la qualité, études de marché, essais de laboratoire, contrôle réglementaire et certification : autant de domaines comptant parmi les nombreuses activités économiques qui bénéficieront d’une nouvelle collection sur CD-ROM de plus de 70 Normes internationales ISO relatives aux méthodes statistiques.
Il s’agit de la sixième édition de la collection complète des normes ISO pour les Méthodes statistiques. Publiée auparavant sous la forme d’un recueil de normes en deux volumes, elle est maintenant disponible pour la première fois sur CD-ROM.
Les 74 Normes internationales du CD-ROM définissent la méthodologie pratique pour le recueil, le traitement et l’interprétation des résultats de mesures, d’essais ou de contrôles des produits ou services évalués à partir d’un échantillon.
Les Normes internationales ISO relatives à l’application des méthodes statistiques sont génériques et largement utilisées dans de nombreux domaines techniques. Appliquées dans le monde entier dans tous les secteurs économiques, elles sont aussi citées dans des centaines de Normes internationales ISO relatives à des produits, processus et matériaux spécifiques.
Le CD-ROM comprend des normes pour:
les méthodes statistiques en général;
la terminologie et les symboles;
les applications des méthodes statistiques au management des processus;
l’échantillonnage en vue d’acceptation;
les méthodes et résultats de mesure.
Un index numérique permet un accès rapide aux normes et le CD-ROM inclut une fonctionnalité de recherche plein texte.
Les avantages économiques des méthodes statistiques dans les industries de production sont bien connus, mais elles sont aussi largement appliquées et utiles dans les secteurs des services, du commerce, de la réglementation, de la recherche scientifique et des sciences humaines.
Les normes du CD-ROM ont été élaborées par le comité technique ISO/TC 69, Application des méthodes statistiques, dont le Président, M. Christophe Perruchet, fait observer: «Cette collection sur CD-ROM des travaux de l’ISO/TC 69 constitue une base solide, internationalement harmonisée pour des méthodes statistiques qui facilitent la croissance des marchés mondiaux.»
Le CD-ROM Statistical methods, en anglais (ISBN 978-92-67-10476-8), est disponible, au prix de 356 francs suisses, auprès des instituts nationaux membres de l'ISO (voir la liste complète avec les coordonnées) et du Secrétariat central de l'ISO par l'intermédiaire de l'ISO Store ou en contactant le département Marketing & Communication